Quand Israël avait adoré le veau d'or, Moïse avait intercédé auprès de Dieu pour qu'il lui pardonne, en insistant : "Sinon, je t'en prie, efface-moi de ton livre, celui que tu as écrit." (Ex 32.32)
Par la suite, Moïse a entendu et vu "le peuple qui pleurait, chacun [...] à l'entrée de sa tente" en criant : "Qui nous donnera de la viande à manger?" (Nb 11.4, 10) Comment a-t-il réagi? Pourquoi son attitude était-elle injustifiée? Où voyons-nous transparaitre l'humanité pécheresse de ce grand homme de Dieu? Nb 11.10-15.
Lisez Nb 11.21-23. Comment l'humanité de Moïse apparait-elle ici aussi ?
Bien que Moïse ait commis des erreurs et qu'il ait manqué de confiance, le Seigneur a soulagé son fardeau en choisissant soixante-dix anciens pour l'assister dans sa tâche (Nb 11.16, 17). L'expérience vécue par ces hommes ressemble à celle des disciples du Christ, à la Pentecôte, lors de l'effusion de l'Esprit, si ce n'est qu'ils se sont mis "à faire les prophètes". C'était pour Dieu une manière de les honorer devant tout le peuple.
"Ces hommes n'auraient jamais été appelés à remplir ces fonctions, si Moïse s'était souvenu des preuves qu'il avait eues de la puissance et de la bonté de Dieu. S'il s'était entièrement appuyé sur lui, il aurait obtenu une force proportionnée à cette éventualité. Mais, s'exagérant ses responsabilités et son travail, il avait en quelque sorte perdu de vue le fait qu'il n'était qu'un instrument entre les mains de Dieu. Il n'était donc pas excusable de participer ainsi à l'esprit de murmure qui faisait le malheur d'Israël." -- Ellen WHITE, Patriarches et prophètes, "Du Sinaï _ Kadès ", p. 357, 358.
Lisez attentivement Nb 11.20. Les Israélites avaient " rejeté le SEIGNEUR qui est parmi vous ". Quand une personne rejette Dieu, cela ne veut pas forcément dire qu'elle nie son existence ou qu'elle a apostasié ou encore qu'on ait rayé son nom des registres de l'Église. Nous nous faisons facilement des illusions sur notre relation avec Dieu. Qu'est-ce que cet incident nous apprend à ce sujet ?
Par la suite, Moïse a entendu et vu "le peuple qui pleurait, chacun [...] à l'entrée de sa tente" en criant : "Qui nous donnera de la viande à manger?" (Nb 11.4, 10) Comment a-t-il réagi? Pourquoi son attitude était-elle injustifiée? Où voyons-nous transparaitre l'humanité pécheresse de ce grand homme de Dieu? Nb 11.10-15.
Lisez Nb 11.21-23. Comment l'humanité de Moïse apparait-elle ici aussi ?
Bien que Moïse ait commis des erreurs et qu'il ait manqué de confiance, le Seigneur a soulagé son fardeau en choisissant soixante-dix anciens pour l'assister dans sa tâche (Nb 11.16, 17). L'expérience vécue par ces hommes ressemble à celle des disciples du Christ, à la Pentecôte, lors de l'effusion de l'Esprit, si ce n'est qu'ils se sont mis "à faire les prophètes". C'était pour Dieu une manière de les honorer devant tout le peuple.
"Ces hommes n'auraient jamais été appelés à remplir ces fonctions, si Moïse s'était souvenu des preuves qu'il avait eues de la puissance et de la bonté de Dieu. S'il s'était entièrement appuyé sur lui, il aurait obtenu une force proportionnée à cette éventualité. Mais, s'exagérant ses responsabilités et son travail, il avait en quelque sorte perdu de vue le fait qu'il n'était qu'un instrument entre les mains de Dieu. Il n'était donc pas excusable de participer ainsi à l'esprit de murmure qui faisait le malheur d'Israël." -- Ellen WHITE, Patriarches et prophètes, "Du Sinaï _ Kadès ", p. 357, 358.
Lisez attentivement Nb 11.20. Les Israélites avaient " rejeté le SEIGNEUR qui est parmi vous ". Quand une personne rejette Dieu, cela ne veut pas forcément dire qu'elle nie son existence ou qu'elle a apostasié ou encore qu'on ait rayé son nom des registres de l'Église. Nous nous faisons facilement des illusions sur notre relation avec Dieu. Qu'est-ce que cet incident nous apprend à ce sujet ?
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